finance
Le Calvinisme et l'argent - 2017
Le Calvinisme et l'argent. Ce courant de Théologie Suisse allait a l'encontre du courant de l'époque au sujet des prêts avec intérêts que la Bible interdit.
Le Protestantisme Calviniste ouvre les portes à un métier qui était normalement celui des Juifs.
Le père du Capitalisme primitif où l'on fait du profit sans pour autant augmenter sa propre fortune systématiquement mais pour investir dans la communauté.
Une idée du capitalisme social bien loin de ce qu'on en fait aujourd'hui.
Les théologiens Catholique (tel Martin Luther) indiquent que la Bible interdit cela mais le fait de réinvestir ses profits pour la communauté et la création de nouvelles richesses donne droit à Jean Calvin de penser qu'il est bénéfique auprès du seigneur de proposer des prêts avec intérêts vu qu'il aide sa communauté.
La Capitalisme actuel n'a aucun rapport il est bien plus ultra-libéraliste et seul le profit pour sois même ou un groupe est la volonté.
Le Capitalisme Calviniste a vécu.
TAIR Marc
08/2017
On fait encore chuter le social et le droit des malades...
C'est dit, le gouvernement propose d'imposer un jour de carence aux fonctionnaires et 4 pour les salariés du privé lorsque ceux ci sont en maladie.
200 Millions d'économies à la cléf pour le ministère du budget. Cette proposition mets encore notre droit à la santé en évidence. Un évident désire de faire disparaître notre droit à être soigné.
Français, il te faut encore travailler plus, être payé moins et être moins soigné (et indemnisé). Et demain ? une carence d'une semaine ? La disparition du tiers payant ? Un chèque de caution pour ce faire hospitaliser ? Mais dans quel état de santé seront nous à la retraite ?
Pour un contrôle plus efficaces des fraudeurs ok, mais pour cela il faudrait plus de contrôleurs et éviter d'effectuer les contrôles systématiques que sur les maladies ayant plus de 45 jours d'arrêt, il faudrait plus s'intéresser aux motifs par exemple etc... Nombreux arrêts pour une petite grippe peuvent être évités, etc...
Parfois même ce sont les employeurs qui mettent les employés dans une situation de stress ou de maladie.
Oui pour les contrôles mais en évitant d'avoir uniquement une valeurs comptable et de suspicion de fraude systématique. Éviter (comme cela ce fait dans certains cas) de convoquer les malades pour ce justifier mais plutôt venir (plus souvent) à l'improviste sans que ce soit l'employeur qui le demande.
Des fraudeurs pas du tout malades il doit certainement y en avoir beaucoup mais il n'est pas certain que ce soit ceux ci qui seront épinglés.
Il n'est pas sur que les moyens seront donnés pour que bonnes investigations soient réalisées, il est à craindre que cela ne soit qu'une manière de récupérer des euros sur le dos des travailleurs en leur soutirant un journée d'indemnité.
87 Milliards d'indemnités octroyés en 2010, et 5.4 Milliards de d'euros de fraude récupérée la même année.
Dans ces chiffres d'indemnité nous pouvons ressortir une bonne moitié pour l'arrêt maladie, un quart pour la maternité et un quart pour accident du travail.
J'ai pus constater que des contrôles par convocation ont été réalisés sur des personnes en état de grossesse avéré et signalé sur les documents envoyés à la sécurité sociale. L'agent ne connaissait pas le dossier et apprenait en direct les raisons du contrôle (est ce un ordinateur qui décide avec l'aide de pourcentages et de critères pré-établit des personnes à rencontrer?)
Nous pouvons aussi retenir la pression que certains employeurs font subir à leurs employés, qui après quelques années nous font constater une hausse d'arrêt maladie (lié à la peur du supérieur hiérarchique, au stress, à la fatigue morale, etc...) Les cas de France Telecom, La Poste, Renault doivent nous permettre de nous interroger sur le managering de certains employeurs. La bonne santé morale en France n'est pas encore un but !!
Des effets négatifs facile à remarquer, attendons si les effets positifs sur les vrais fraudeurs seront avérés.
TAIR Marc
Le dépeçage de Dexia... Nos banques sont au pied du mur.
Dexia dépecée... une nationalisation qui ne dit pas son nom :
Dexia une société Franco-Belge spécialisée en France dans les prêt à des collectivités.
La branche Belge nationalisée, la branche Luxembourgeoise bradée à un fond Quatar, et la branche Française rattachée à la Cdc et la Banque Postale, ce qui revient à nationaliser sans le dire.
Dexia est elle la première des banques Françaises à devoir ce tourner vers l'Etat, il est à prévoir d'autres surprises qui ce compterons aussi par millards d'euros.
Dexia est sans aucun doute le haut de l'iceberg, et ce qui nous attend sera certainement d'envergure.
Vu les erreurs de ces banquiers, et leur désire dévorant de gros gains sans éthique, il n'est plus possible de les laisser faire, il est temps que nos politiques dépenses nos deniers à bon escient, pour reglementer en profondeur le monde de la finance et rentrer dans le capital de ces sociétiés qui dilapides ce que nos entreprises créees.
Quel sera la prochaine à demander de l'aide ?:
Nos banques comme je l'ai déjà dis ont du mal à ce refinancer, et les prêts ainsi que les découverts sont revus à la baisse et voir même annulés. Nos cadres moyens et les Pme sont les prochains à ce serrer la ceinture, voir même pour une partie, cela à déjà commencé.
L'argent que nous avons placé chez eux, il ne l'ont plus !! Heureusement que l'Etat garantie nos comptes de dépôts, nos livrets... pour 100.000 euros.
Si nos cadres doivent revoir leur autorisation de découvert à la baisse et retarder l'obtention d'un prêt, nous pouvons nous inquieter sur le sort des smicards qui n'ont certainement déjà plus le droit au découvert, ou bien avec des agios.
Nombre de Français depuis 2008 doit vivre avec des découverts réguliers voir même continues sur leur compte, malgré des revenues mensuels.
2012, une éléction Présidentielle, qui sera aussi sur le thèmes des Banques :
-Il sera de bon ton de réguler plus nos Banques et de baisser les frais de tenue de compte.
-Taxer les bénéfices d'une Banque même si celle-ci est étrangère, lorsque ses gains sont réalisés sur le térritoire national.
-Taxer les bonus des traders et des dirigeants.
Qu'ils fassent des bénéficent c'est un droit, mais il y a des limitent à éviter, car quand on spolie les clients, et que l'ont s'accorde des bonus éxorbitant cela n'est pas convenable.
Il n'est pas normal de continuellement renflouer les erreurs de placements de "spécialistes" de la finance avec l'argent des contribuables.
Il est temps de rationaliser cela et de reglementer !!!
TAIR Marc