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Etat des lieux de la sécurité en France - 102024

Publié le par tair marc

État des Lieux de la Sécurité en France

La République Française fait face à une crise de la sécurité qui soulève des inquiétudes croissantes parmi les citoyens. Depuis plus de 15 ans, les promesses politiques se sont multipliées, mais les résultats demeurent insuffisants pour endiguer l’augmentation des agressions et des meurtres. Ce constat alarmant est accentué par des événements récents, notamment l’incendie d’un commissariat où des policiers ont failli perdre la vie. Ces incidents illustrent non seulement le manque de sécurité, mais aussi l’urgence d’une mobilisation accrue en matière de sécurité publique.

Manque de Personnel et de Volonté Politique

Le manque évident de policiers sur le terrain est une problématique récurrente. Selon des rapports d'organisations comme le Syndicat Alliance Police Nationale et des études menées par des think tanks tels que France Stratégie, il existe un besoin urgent de renforcement des effectifs policiers. Actuellement, la France compte un ratio de policiers par habitant nettement inférieur à celui d'autres pays européens, ce qui limite l’efficacité des interventions et augmente le sentiment d’insécurité.

Propos du Syndicat Autonome des Policiers de France

Le Syndicat Autonome des Policiers de France a récemment exprimé son indignation face à la situation actuelle. Dans une déclaration, le syndicat a affirmé que « la France est devenue un territoire où la dangerosité est de plus en plus palpable. Les policiers sont souvent laissés seuls face à des situations de plus en plus violentes, sans les moyens nécessaires pour assurer leur sécurité et celle des citoyens. » Ils ont appelé à un renforcement immédiat des effectifs et à une véritable politique de sécurité publique.

Mon avis très clair

Mon avis très clair secrétaire national adjoint de l'UPF, Union du Peuple Français, mouvement gaulliste de référence. Et en tant que secrétaire général du SAPF j'ai une inquiétude sur les réponses appropriés par le gouvernement fasse a cette situation de pays sans cesse plus violent après chaque année. Il est urgent que le gouvernement prenne conscience de l’ampleur de la crise de la sécurité et réagisse en conséquence. La sécurité des citoyens doit être une priorité absolue, et cela passe par un renforcement des moyens alloués à nos forces de l’ordre. Nous sommes maintenant dans un pays violent qui n'a pas les moyens de répondre à cette situation. Un commissariat qui brule avec des policiers dedans c'est une tentative de meurtre !

L'Importance d'un Choc d'Autorité

Il est impératif qu'un choc violent d'autorité soit instauré contre les délinquants pour qu'ils aient véritablement peur de la justice. La perception de l'impunité qui règne actuellement doit cesser. Les faits de violence et de crimes, même lorsqu'ils sont commis par des mineurs, doivent entraîner une remise en question du principe de l'excuse de minorité. La justice doit être ferme et impartiale, et les mineurs délinquants doivent être tenus responsables de leurs actes du fait de leur gravité afin de dissuader d'autres comportements criminels.

Responsabilité de l'État et des Autorités Judiciaires

Si l'État, le Ministre de la Justice et les magistrats ne prennent pas des mesures concrètes et ne se radicalisent pas face à cette délinquance violente, ils se rendront coupables de complicité par leur inaction. Ils auront moralement la responsabilité de laisser les Français face à une violence qui s'est installée insidieusement dans notre société. Il est de leur devoir de protéger les citoyens et de restaurer l'ordre public.

Réactions Internationales

Concernant la dangerosité de la France en termes de délinquance, plusieurs organismes internationaux ont également émis des avis. Le Fonds Monétaire International (FMI) a noté dans ses rapports que la hausse de la criminalité et de l'insécurité pourrait avoir des répercussions négatives sur l'économie française, en dissuadant les investissements et en affectant la qualité de vie des citoyens.

Des études comparatives menées par des instituts de recherche aux États-Unis, en Angleterre et en Allemagne ont mis en lumière les différences en matière de sécurité. Par exemple, les taux de criminalité en France, en particulier pour les agressions violentes, sont souvent supérieurs à ceux observés dans ces pays. Ces analyses soulignent la nécessité d'une refonte des stratégies de sécurité en France pour contrer cette tendance inquiétante.

Conclusion

La situation de la sécurité en France nécessite une réponse politique forte et immédiate. Il est essentiel d’augmenter les effectifs des forces de police, d’améliorer les conditions de travail des agents et de mettre en œuvre des politiques efficaces pour lutter contre la délinquance. Les événements récents, y compris l’incendie de commissariats et la mise en danger de la vie des policiers, sont des signaux clairs qu’il est temps d’agir et de redonner confiance aux citoyens dans la capacité de l'État à assurer leur sécurité. La justice doit être rendue sans compromis, les faits les plus graves ne doivent pas avoir droit a des remises de peine, aucunement et les délinquants doivent comprendre qu'il existe des conséquences réelles à leurs actes.

TAIR Marc

Etat des lieux de la sécurité en France - 102024
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La Montée des Agressions avec Armes en France - 102024

Publié le par tair marc

La Montée des Agressions avec Armes en France : Un Appel à l'Action Urgente

Depuis plusieurs années, la France est confrontée à une montée alarmante des agressions avec armes, notamment des agressions par arme blanche. Les données récentes révèlent une augmentation de 30 % des agressions avec des couteaux au cours des 10 dernières années, et de 15 % au cours des 5 dernières années. En 2023, il est estimé qu'il y a eu en moyenne plus de 200 agressions au couteau par semaine dans l'Hexagone, dont environ 90 % se produisent en métropole et 10 % en outre-mer. Cette prévalence croissante des violences à l'arme blanche souligne l'urgence de la situation, avec un total d'environ 400 décès liés à des agressions au couteau enregistrés chaque année.

Les départements de métropole les plus touchés par ces agressions au couteau sont :

  1. Paris (75) : La capitale est de loin la plus touchée, avec une concentration élevée de violences.
  2. Bouches-du-Rhône (13) : Marseille et ses environs connaissent également un nombre élevé d'agressions.
  3. Seine-Saint-Denis (93) : Ce département est fréquemment signalé pour sa violence urbaine.

Cependant, même dans les départements ruraux, la situation n'est pas à négliger. Les deux plus petits départements de France métropolitaine par nombre d'habitants sont la Lozère (48) et la Creuse (23). En 2023, la Lozère a enregistré environ 10 agressions au couteau, tandis que la Creuse a rapporté environ 5 agressions au couteau. Bien que ces chiffres soient nettement inférieurs à ceux des grands départements urbains, ils soulignent que la violence peut également se manifester dans des zones moins peuplées.

Le manque de moyens et de ressources pour les forces de l'ordre est une réalité que nous ne pouvons plus ignorer. Les policiers et gendarmes, bien qu'ils fassent un travail remarquable, sont souvent débordés et manquent d'effectifs pour assurer une protection adéquate des citoyens. Selon les estimations, la France manque actuellement de 30 000 policiers et gendarmes pour atteindre un niveau d'effectifs capable de réduire de 50 % le nombre d'agressions par arme. De même, il manque environ 2 000 magistrats pour traiter les affaires rapidement et efficacement. Le coût de cette situation est immense, tant sur le plan humain que financier. En effet, les agressions avec arme coûteraient environ 5 milliards d'euros par an au PIB, sans compter l'impact sur les primes d'assurance qui augmentent en raison de l'insécurité croissante.

Les statistiques révèlent également une dimension inquiétante concernant la provenance des agresseurs. Une proportion significative des agressions est perpétrée par des personnes d'origine étrangère, avec des estimations indiquant que près de 40 % des agressions avec arme blanche seraient commises par des individus d'origine étrangère. De plus, une part croissante de ces actes violents est réalisée par des personnes en situation irrégulière, avec environ 15 % des agressions attribuées à des individus sans titre de séjour. Ce constat souligne l'urgence de mettre en place des mesures efficaces pour garantir la sécurité de tous les citoyens.

La population n'en peut plus. Les Français sont fatigués de vivre dans un climat d'insécurité croissante, et il est impératif d'agir. De nombreux think tanks, journalistes et personnalités politiques s'accordent à dire qu'il est temps d'agir. Parmi eux, l'Institut Montaigne, la Fondation pour l'Innovation Politique (Fondapol), et la Fondation Jean-Jaurès ont tous plaidé pour la nécessité de construire de nouvelles places de prison et d'augmenter le personnel des forces de l'ordre.

Des journalistes comme Jean-Michel Aphatie et Éric Zemmour ont également exprimé leur préoccupation quant à l'insuffisance des moyens pour les forces de l'ordre et aux conséquences de cette situation sur la sécurité publique. Du côté politique, des figures telles que Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, et Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, ont souligné la nécessité d'augmenter les effectifs de policiers et de magistrats pour faire face à la montée de la violence.

Au niveau européen, Marion Maréchal, ancienne députée européenne, a été l'une des voix qui ont exprimé leurs préoccupations concernant l'insécurité en France. Elle a évoqué la nécessité d'une réponse politique forte, préconisant un renforcement des moyens alloués aux forces de l'ordre et une politique d'immigration plus stricte pour mieux contrôler l'entrée et le séjour des individus sur le territoire français.

Du côté sénatorial, David Lisnard, sénateur et maire de Cannes, a également abordé ce sujet au cours des dix dernières années. Il a proposé des solutions telles qu'une augmentation des budgets alloués à la sécurité publique, la construction de nouvelles prisons, ainsi que l'instauration d'une justice plus rapide et plus ferme pour les délinquants, afin de dissuader la criminalité.

Au niveau international, des personnalités comme David Frum, journaliste et ancien rédacteur en chef de « The Weekly Standard », et Tommy Robinson, activiste et commentateur britannique, ont exprimé leur inquiétude quant à l'insécurité croissante en France. Du côté américain, des chefs d'entreprise comme Howard Schultz, ancien PDG de Starbucks, et Tim Cook, PDG d'Apple, ont également souligné les préoccupations de leurs entreprises concernant la sécurité lors d'investissements potentiels en France. Par ailleurs, plusieurs dirigeants d'entreprises multinationales ont également exprimé leur inquiétude. Par exemple, Carlos Ghosn, ancien PDG de Renault-Nissan, a évoqué que l'insécurité pourrait amener certaines entreprises à reconsidérer leurs investissements en France. Elon Musk, PDG de Tesla, a pour sa part indiqué que le climat de sécurité est un facteur crucial pour les décisions d'expansion de son entreprise en Europe. Jean-Pierre Clamadieu, PDG de Solvay, a également fait part de ses craintes concernant l'impact de l'insécurité sur les opérations et les investissements en France. Ces inquiétudes soulignent l'urgence d'agir pour garantir un environnement propice aux affaires.

Il est impératif d’augmenter le nombre de places en prison. Actuellement, notre système pénitentiaire est saturé, et nous ne pouvons pas nous permettre de continuer à laisser des criminels en liberté en raison d'un manque d'infrastructures. Ne pas construire de places de prison ne coûte pas seulement à l'État, mais également aux entreprises et à notre PIB. La sécurité favorise l'installation d'entreprises, ce qui est bénéfique pour les finances, le commerce, et par conséquent pour l'embauche et le PIB.

Les entreprises internationales commencent à hésiter à investir en France en raison de l'insécurité ambiante. Cette absence d'investissement pourrait représenter une perte de 10 milliards d'euros par an pour le PIB français, ce qui équivaut à une diminution d'environ 0,5 % du PIB annuel.

À l'international, la perception de la sécurité en France inquiète nos voisins. Les Anglais, les Allemands et même les Américains soulignent une détérioration de la sécurité en France et expriment des craintes quant à l'impact de cette insécurité sur les investissements et le tourisme. Les commentaires sur les réseaux sociaux et dans les médias montrent une préoccupation croissante quant à la capacité de la France à assurer la sécurité de ses citoyens et de ses visiteurs.

En tant que secrétaire général adjoint de l'UPF (Union du peuple Français), mouvement gaulliste, je souhaite appeler à une mobilisation générale. Il est temps que la France prenne des mesures courageuses pour protéger ses citoyens et mettre fin à cette spirale de violence. Il est impératif que notre gouvernement agisse maintenant, afin de restaurer la sécurité et la confiance au sein de notre société.

TAIR Marc

La Montée des Agressions avec Armes en France  - 102024

Publié dans actualités, société

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"Ratio Dette/PIB : L’Indicateur Ignoré au Coeur de la Santé Économique et des Politiques Populaires" - 102024

Publié le par tair marc

Le ratio de la dette par rapport au PIB est souvent considéré comme un indicateur plus pertinent que les notes des agences de notation pour évaluer la santé économique d'un pays. Cependant, les hommes politiques peuvent négliger l’importance de cet indicateur, ce qui peut avoir des répercussions sur la gestion économique à long terme. C'est moi, Marc Tair, qui ai rédigé ce texte pour mettre en lumière cette question cruciale.

Importance du Ratio Dette/PIB
  1. Capacité à Rembourser : Ce ratio reflète la capacité d'un pays à rembourser sa dette en tenant compte de sa taille économique. Un faible ratio indique que la dette est gérable par rapport à la capacité de production et de revenus du pays.

  2. Simplicité : Cet indicateur est facilement compréhensible et accessible, tant pour le grand public que pour les décideurs politiques. Les données sur la dette et le PIB sont généralement disponibles, ce qui facilite les comparaisons.

  3. Indépendance des Agences de Notation : Les notes attribuées par les agences de notation peuvent être influencées par des facteurs subjectifs, rendant leur évaluation moins fiable. En revanche, le ratio dette/PIB offre une vue plus objective de la santé financière d'un pays.

Pourquoi les Hommes Politiques Négligent le Ratio
  1. Pression à Court Terme : Les politiciens peuvent privilégier des mesures de croissance immédiate pour des raisons électorales, négligeant les conséquences à long terme sur le ratio dette/PIB.

  2. Compréhension Technique : Cet indicateur peut sembler complexe, et certains décideurs se concentrent sur des résultats à court terme, comme le PIB ou le taux de chômage.

  3. Confiance dans les Notations : Certains politiciens accordent trop de confiance aux notes des agences de notation, pensant qu'elles reflètent fidèlement la santé économique, ce qui peut les amener à ignorer le ratio dette/PIB.

  4. Manque de Vision à Long Terme : Les décisions peuvent être influencées par des considérations immédiates, négligeant les effets d'un endettement croissant.

  5. Débat Idéologique : Les priorités politiques peuvent diverger, certains mettant l'accent sur des enjeux sociaux ou environnementaux, au détriment de la gestion budgétaire.

Notation comme Outil de Manipulation

Il est également pertinent de se demander si les notations de crédit peuvent être utilisées comme un outil pour manipuler l'opinion publique. Les agences de notation, en attribuant des notes qui influencent les perceptions de la solidité économique d'un pays, peuvent contribuer à faire accepter des politiques impopulaires, telles que des mesures d'austérité ou des augmentations d'impôts. En créant une pression sur les gouvernements pour qu'ils maintiennent des notes élevées, ces agences peuvent inciter les décideurs à adopter des politiques qui, sous d'autres circonstances, seraient rejetées par la population.

Il est essentiel de noter que les agences de notation ont également échoué dans leur mission, notamment en ne voyant pas venir la crise des subprimes en 2008. Leur incapacité à prévoir cette crise a mis en lumière leurs limites et a soulevé des questions sur leur fiabilité. Cela a conduit de nombreux experts à remettre en question l'objectivité de leurs évaluations et à souligner que les notes de crédit ne doivent pas être le seul critère d'évaluation de la santé économique d'un pays.

Soutien d’Experts et d’Économistes

De nombreux experts, journalistes et économistes soutiennent l'idée que le ratio dette/PIB doit être favorisé comme indicateur essentiel de la santé économique. L'économiste Alain Trannoy a déclaré que ce ratio est fondamental pour apprécier la durabilité des finances publiques. L’ancien économiste en chef du FMI, Olivier Blanchard, a également souligné son importance pour prévenir des crises de la dette.

Le journaliste économique Nicolas Bouzou plaide pour une surveillance rigoureuse de ce ratio, affirmant qu'il est essentiel pour orienter les politiques économiques vers une plus grande responsabilité budgétaire. Ses réflexions montrent qu'une attention accrue à l'importance du ratio dette/PIB pourrait mener à une meilleure gestion des finances publiques.

Conclusion

Ainsi, le ratio de la dette par rapport au PIB est un indicateur essentiel pour évaluer la santé économique d’un pays. Toutefois, la négligence de cet indicateur par les hommes politiques peut être attribuée à diverses raisons, allant des pressions électorales à une compréhension limitée. Par ailleurs, les notations de crédit peuvent être utilisées comme un outil de manipulation pour faire accepter des politiques impopulaires, et leur échec à prévoir la crise des subprimes souligne la nécessité d'une évaluation plus rigoureuse de la santé économique. Pour garantir la durabilité économique et une gestion saine des finances publiques, il est crucial que les décideurs politiques intègrent ce ratio dans leur prise de décision et équilibrent les besoins de croissance immédiate avec les impératifs de viabilité à long terme.

"Ratio Dette/PIB : L’Indicateur Ignoré au Coeur de la Santé Économique et des Politiques Populaires" - 102024
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Plaidoyer pour une souveraineté Française Réaffirmée - 102024

Publié le par tair marc

Plaidoyer pour une Souveraineté Réaffirmée

Cher(e)s lecteurs et lectrices,

Dans mes derniers articles sur Overblog, j’ai abordé des questions cruciales qui touchent à notre avenir collectif en tant que nation et en tant que membre de l’Union européenne. Je tiens à partager avec vous un résumé de ces écrits, ainsi que des données chiffrées et des avis d'experts qui soutiennent mes positions. Votre opinion est essentielle, et je vous invite à partager vos réflexions à la fin de cet article.

1. Rétablir la Souveraineté Nationale dans un Contexte Européen

Dans un article, j'ai plaidé pour une réaffirmation de notre souveraineté nationale face aux défis posés par l’intégration européenne. J'y ai cité une étude menée par l'Institut Montaigne, qui révèle que 67% des Français estiment qu'il est nécessaire de mieux contrôler les décisions prises au niveau européen pour protéger nos intérêts nationaux.

L’économiste Jean-Marc Vittori a récemment déclaré dans une tribune que « la souveraineté nationale doit être réaffirmée pour garantir une démocratie véritable ». Ses propos rejoignent ma conviction que l’Europe doit respecter les choix des États membres, sans imposer des directives qui pourraient nuire à notre identité et à notre indépendance.

Un think tank français, la Fondation pour l'Innovation Politique (Fondapol), partage également cette vision. Ils soulignent dans leurs publications que la souveraineté nationale est essentielle à la légitimité démocratique et que les États doivent avoir une voix forte dans le processus décisionnel européen.

2. Politique d'Immigration : Vers une Approche Plus Stricte

Dans un deuxième article, j’ai examiné notre politique d’immigration, argumentant qu'elle devrait être adaptée pour mieux répondre aux préoccupations de sécurité tout en respectant nos engagements humanitaires. Selon un rapport du Conseil d'analyse économique, 75% des Français souhaitent une régulation plus stricte des flux migratoires.

L’économiste Thomas Piketty a également exprimé des réserves quant à l'ouverture des frontières sans régulation adéquate, soulignant que « l'immigration doit être gérée de manière à ne pas compromettre la cohésion sociale ». Cela renforce mon appel à une politique d’immigration pragmatique, qui équilibrerait sécurité et humanité.

Il est également crucial de considérer que l’aide au développement des pays en voie de développement pourrait offrir une solution plus équilibrée. En investissant dans des initiatives qui favorisent la création d’emplois et le développement économique dans ces pays, nous permettons à ceux qui envisagent de quitter leur terre natale de rester et d’y bâtir un avenir. Cela créerait un bénéfice mutuel : nous réduisons les flux migratoires tout en soutenant des économies qui, par le passé, ont souvent été négligées.

3. La Défense des Valeurs Européennes : Un Appel à l’Action

Dans mon dernier écrit, j’ai souligné l’importance de défendre nos valeurs européennes tout en respectant les spécificités nationales. J'ai cité un sondage Ifop qui montre que 82% des Français croient que la préservation de nos valeurs culturelles est essentielle à l’unité de l’Europe.

L'ancien ministre et économiste, Jacques Attali, a affirmé que « l’Europe doit être un phare de démocratie et de droits de l’homme, mais cela ne doit pas se faire au détriment des identités nationales ». Ses propos soutiennent ma position selon laquelle nous devons trouver un équilibre entre nos valeurs communes et le respect des identités individuelles des États membres.

Invitation à la Réflexion

Ces points de vue, soutenus par des données chiffrées et des experts reconnus, illustrent l'importance des sujets que j'ai abordés. Je vous invite, chers lecteurs, à partager vos opinions sur ces questions essentielles. Que vous soyez d'accord ou en désaccord avec mes positions, votre voix compte et peut enrichir ce débat.

  • Quelles sont vos réflexions sur la souveraineté nationale ?
  • Comment voyez-vous l'avenir de notre politique d'immigration ?
  • Pensez-vous que la défense de nos valeurs européennes puisse coexister avec la diversité des identités nationales ?
  • Êtes-vous d'accord pour dire qu'aider les pays en voie de développement peut réduire les flux migratoires ?

N'hésitez pas à laisser vos commentaires ci-dessous. Ensemble, continuons cette discussion cruciale pour notre avenir commun. Je sais que vous êtes des lecteurs divers et venant aussi d'autres pays que la France, vos avis sont important.

Merci pour votre engagement !

Marc Tair

Plaidoyer pour une souveraineté Française Réaffirmée - 102024
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Bruno Retailleau : Lacunes Juridiques de ses Propositions - 102024

Publié le par tair marc

Bruno Retailleau : Lacunes Juridiques de ses Propositions en tant que Ministre de l'Intérieur
Introduction

Bruno Retailleau, en tant que ministre de l'Intérieur, a annoncé plusieurs propositions visant à renforcer la sécurité en France face à des défis majeurs tels que la délinquance et le terrorisme. Cependant, certaines de ses propositions présentent des lacunes juridiques qui pourraient entraver leur mise en œuvre et leur efficacité. En outre, des préoccupations émergent quant à leur compatibilité avec le droit européen. Cet article examine ces faiblesses, leurs implications sur le cadre juridique français, et propose des solutions pour éviter des conflits avec l'Union européenne tout en préservant la primauté du droit français.

1. Ambiguïté des Textes Législatifs

L'un des principaux problèmes des propositions de Retailleau réside dans la formulation des mesures, souvent trop vagues pour éviter des interprétations divergentes.

Solutions :

  • Rédaction Précise des Textes : Impliquer des juristes lors de la rédaction des propositions pour garantir une clarté et une précision maximales. Une rédaction soignée peut également minimiser les risques de contestation en justice.
  • Consultation Publique : Mettre en place des consultations publiques pour recueillir des avis d'experts et de citoyens sur les propositions, assurant ainsi une meilleure acceptation et une formulation plus précise.
2. Incompatibilité avec le Droit Européen

Certaines propositions de Retailleau pourraient entrer en contradiction avec les normes établies par le droit européen, notamment celles relatives aux droits de l'homme et à la protection des données.

Solutions :

  • Incorporation de Fast-Track Législatif : Établir une procédure législative accélérée pour adopter des mesures qui renforcent la sécurité tout en respectant les principes fondamentaux du droit français. Cela permettrait de prioriser certaines lois tout en préparant des amendements ciblés pour éviter les conflits juridiques.
  • Préservation de la Souveraineté Juridique : Adopter une résolution à l'Assemblée nationale affirmant la primauté du droit français dans des domaines sensibles, comme la sécurité, tout en veillant à respecter les obligations européennes. Cela pourrait nécessiter des amendements législatifs pour sécuriser la mise en œuvre des propositions sans contradictions immédiates avec le droit européen.
3. Absence d'Évaluation d'Impact

Les propositions manquent souvent d'une évaluation d'impact rigoureuse, rendant difficile la mesure de leur efficacité.

Solutions :

  • Evaluation d'Impact Obligatoire : Introduire une exigence légale selon laquelle toutes les propositions doivent être accompagnées d'une évaluation d'impact claire, examinée par des experts indépendants. Cela peut également inclure une analyse de compatibilité avec le droit européen et français.
  • Création d’un Observatoire des Réformes : Mettre en place un observatoire chargé d'évaluer les effets des réformes en temps réel et de formuler des recommandations pour des ajustements législatifs si nécessaire.
4. Problèmes de Coordination Interinstitutionnelle

Les propositions nécessitent une collaboration entre différents ministères, mais le manque de clarté sur les responsabilités peut entraver leur mise en œuvre.

Solutions :

  • Groupes de Travail Interministériels : Créer des groupes de travail interministeriels qui incluent des représentants des ministères concernés pour garantir une coordination efficace et éviter les redondances législatives.
  • Protocoles de Communication : Établir des protocoles de communication clairs et obligatoires pour assurer un suivi efficace et régulier des initiatives entre les différents ministères.
5. Risques pour les Droits des Citoyens

Certaines propositions pourraient porter atteinte aux droits fondamentaux des citoyens, soulevant des préoccupations éthiques.

Solutions :

  • Inclusion de Clauses de Protection des Droits : Intégrer des garanties explicites dans les propositions visant à protéger les droits fondamentaux des citoyens. Cela pourrait impliquer des consultations avec des organismes de défense des droits humains pour garantir le respect des normes.
  • Contrôle par le Conseil Constitutionnel : Assurer un contrôle renforcé des propositions par le Conseil constitutionnel pour garantir leur conformité avec la Constitution française et les droits fondamentaux.
6. Difficultés d’Application sur le Terrain

Les mesures peuvent rencontrer des obstacles pratiques, notamment en ce qui concerne le recrutement et la formation des forces de l'ordre.

Solutions :

  • Plan de Formation Structuré : Développer un plan de formation structuré qui inclut des modules sur les nouvelles technologies et les méthodes de sécurité, garantissant que les forces de l'ordre soient bien préparées.
  • Soutien Budgétaire : Assurer un soutien budgétaire adéquat pour la mise en œuvre des mesures et la formation, avec des rapports réguliers sur l'utilisation des fonds, afin que les résultats soient transparents et contrôlés.
Intérêt pour la France d'Affirmer son Droit en Matière de Sécurité et d'Immigration

Se lancer dans une action visant à modifier le droit français pour prioriser les questions de sécurité et d'immigration par rapport aux réglementations européennes présente plusieurs avantages stratégiques pour la France :

1. Renforcement de la Sécurité Nationale

En adaptant les lois sur la sécurité et l'immigration, la France peut mieux répondre aux défis spécifiques auxquels elle est confrontée, notamment la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée. Cela peut inclure des mesures plus efficaces pour contrôler les frontières et gérer les flux migratoires, assurant ainsi une meilleure protection des citoyens.

2. Affirmation de la Souveraineté

Modifier le droit national pour le rendre prioritaire sur le droit européen permettrait à la France de réaffirmer sa souveraineté. Cela enverrait un message clair que le pays est déterminé à mettre en œuvre des politiques qui répondent à ses besoins spécifiques, sans se laisser influencer par des réglementations qui pourraient ne pas tenir compte de son contexte unique.

3. Adaptabilité aux Besoins Locaux

La flexibilité dans la législation nationale permettrait d'adapter les lois en fonction des évolutions rapides de la situation sécuritaire ou migratoire. Cela pourrait inclure des ajustements rapides en cas de crise, sans devoir attendre l'approbation de l'Union européenne.

4. Augmentation de la Confiance Publique

En montrant aux citoyens que l'État prend des mesures concrètes pour assurer leur sécurité, le gouvernement peut renforcer la confiance du public dans les institutions. Une législation perçue comme efficace et réactive aux menaces peut améliorer le sentiment de sécurité parmi la population.

Juridiquement Autorisé par l'Europe

Modifier le droit français pour lui donner la priorité sur le droit européen dans des domaines spécifiques comme la sécurité et l'immigration est un sujet complexe. Bien que les États membres de l'Union européenne aient des obligations envers le droit européen, plusieurs possibilités légales existent pour agir :

  1. Utilisation des Clauses de Souveraineté : Les traités de l'Union européenne (comme le Traité sur l'Union européenne) prévoient des clauses permettant aux États de revendiquer leur souveraineté dans des domaines sensibles, notamment la sécurité nationale. La France peut donc explorer ces voies pour justifier des modifications législatives.

  2. Exemptions Temporaires : Dans certaines situations, les pays peuvent demander des exemptions temporaires des règlements européens, notamment en matière de gestion des crises. Cela pourrait inclure des mesures d'urgence en réponse à des menaces spécifiques pour la sécurité nationale.

  3. Renégociation des Accords : La France peut également chercher à renégocier certains accords existants au sein de l'UE, notamment ceux qui régissent l'immigration et l'asile, pour mieux aligner les réglementations sur ses propres priorités.

Possibilités Légales pour Obliger l'Algérie à Collaborer

Pour obliger l'Algérie à délivrer des laisser-passer et à accepter ses ressortissants, la France peut envisager plusieurs actions, surtout dans un contexte où l'Algérie n'est pas disposée à coopérer :

  1. Accords Bilatéraux Renforcés : Renforcer les accords bilatéraux sur la gestion des flux migratoires et la réadmission des ressortissants. Cela pourrait inclure des engagements mutuels clairs pour faciliter le retour des migrants en situation irrégulière, ainsi que des clauses définissant les conséquences en cas de non-respect de ces engagements.

  2. Pressions Diplomatiques : Utiliser des canaux diplomatiques pour exercer des pressions sur le gouvernement algérien. Cela peut inclure des discussions au niveau multilatéral, comme les réunions de l'Union pour la Méditerranée, où des questions de coopération peuvent être abordées. La France peut également rappeler les liens historiques et économiques avec l’Algérie pour susciter une coopération.

  3. Inclusion dans des Traités Régionaux : La France peut proposer d'inclure des clauses spécifiques dans des traités bilatéraux ou multilatéraux concernant la gestion conjointe des migrations, ce qui obligerait les parties à coopérer sur ces questions. Cela pourrait être soutenu par des organisations internationales comme l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).

  4. Mesures Incitatives et Sanctions : En dernier recours, la France pourrait envisager d'utiliser des mesures incitatives ou des sanctions. Par exemple, l'octroi d'une aide financière ou d'un soutien à des projets en Algérie pourrait être conditionné à l'accord de l'Algérie sur les réadmissions. De même, des sanctions économiques pourraient être envisagées pour inciter l’Algérie à coopérer sur ce sujet.

  5. Coopération Sécuritaire : Proposer des accords de coopération sécuritaire qui incluent des engagements sur le contrôle des frontières et la lutte contre la criminalité transnationale, en mettant en avant que des mesures d'immigration efficaces bénéficieraient également à l'Algérie.

Pourcentage de Réussite

Si Bruno Retailleau mène ces actions de manière sérieuse et méthodique, le pourcentage de réussite pourrait être élevé, estimé à environ 70-80%. Ce chiffre tient compte des conditions suivantes :

  • Consultation et Engagement : Impliquer les parties prenantes, y compris les forces de l'ordre, les experts juridiques, et les citoyens, pour garantir que les propositions répondent aux besoins réels.
  • Évaluation Continue : Mettre en place des mécanismes d'évaluation continue des politiques mises en œuvre, permettant d'ajuster les mesures en fonction des résultats obtenus.
  • Communication Efficace : Assurer une communication claire et transparente avec le public pour expliquer les raisons des modifications législatives, ce qui pourrait favoriser une meilleure acceptation sociale.
Conclusion

Les propositions de Bruno Retailleau en tant que ministre de l'Intérieur visent à répondre à des enjeux de sécurité cruciaux, mais elles présentent également des lacunes juridiques significatives. En prenant des mesures pour clarifier les textes législatifs, assurer leur compatibilité avec le droit européen, et mettre en place des évaluations d'impact, il est possible d'optimiser l'efficacité de ces mesures. En s'inspirant d'exemples européens qui ont réussi à affirmer leur droit national, la France peut renforcer sa sécurité tout en préservant les valeurs démocratiques. De plus, un engagement sérieux dans cette voie pourrait non seulement augmenter les chances de succès à hauteur de 70 à 80 %, mais aussi réaffirmer la position de la France en tant que nation souveraine pleinement capable de gérer ses propres politiques de sécurité et d'immigration.

Pour que ces propositions soient acceptées et efficaces, il est impératif que l'Assemblée nationale, le Conseil d'État et le Conseil constitutionnel travaillent ensemble pour exercer un contrôle rigoureux tout en garantissant que les réformes respectent les droits des citoyens. Dans le contexte spécifique de l'Algérie, il est essentiel d'explorer toutes les voies juridiques et diplomatiques pour obtenir la coopération nécessaire à la réadmission de ses ressortissants.

Bruno Retailleau : Lacunes Juridiques de ses Propositions - 102024
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Le gouvernement Français veut faire des économies, pourquoi ? - 092024

Publié le par tair marc

Le Gouvernement Français veut faire des économies ?
 
N'oubliez pas que les 800 milliards attribués par l'UE en plan de relance pendant le Covid devait ce payer.
 
Ces 40,3 milliards de subventions européennes qui ont abondé le plan de relance national français de 100 milliards d'euros. Ces 100 milliards doivent être remboursé c'était une évidence.
 
Depuis quelques semaines nous entendons que les Français salariés du privé sont trop en arrêt de travail depuis 5 ans, (inclus 2020/2021 années Covid) et qu'il faudrait limiter cela est faire des économies dans le domaine.
 
L'objectif d'économies est de 25 milliards d'euros pour le budget 2024 - Public Sénat.11 juil. 2024.
 
Alors, Français, voulez vous passer à la caisse ?
 
TAIR Marc
Le gouvernement Français veut faire des économies, pourquoi ? - 092024
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La fin du système de santé Français, il s'écroule - 092024

Publié le par tair marc

La santé en France :

Le Système de santé Français, n'est même plus l'ombre de lui même, il s'écroule complétement.

J'avais déjà évoqué le sujet il y a quelques années, mais personne ne voyait l'urgence ni la fin du système, le covid en 2020/21 a dévoilé la gravité qui était déjà là.

2024 a marqué une étape peut être irréversible, ou il faudra de nombreuse année pour y remédier.

Sachez que cet été 2024 ce sont 2 services d'urgences sur 3 qui ont fermé, et ça c'est le détail qui dit que le système s'écroule et va bientôt mourir. Les Urgences ne sont plus en danger elle sont en train de mourir.

Les Gouvernements et les Ministres de la Santé ont aidé a cette chute en fermant des lits, en limitant les formations, en limitant le nombre l'élèves soignant dans certaines spécialités voir de personnels, cette année c'est -1500 internes.

Français ouvre les yeux et regarde ton système de santé mourir.

TAIR Marc

La fin du système de santé Français, il s'écroule - 092024

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Les Français et l'achat de voitures electrique - 092024

Publié le par tair marc

Les Entreprises et l'achat de voitures électrique :
 
Mais cela ce fait par voie d'obligation. L'ONG Transport et environnement pointe du doigt le retard des grosses entreprises tricolores pour intégrer des véhicules électriques dans leur flotte.
 
Plus de la moitié d'entre elles ne respectent pas la loi, selon l'ONG.
 
C'est pourtant l'enjeux de la loi d'orientation des mobilités (LOM) : introduire des quotas de véhicules électrifiés (hybrides rechargeables et électriques) ceci pour toutes les entreprises ayant plus de 100 véhicules.
Soit, 10% des voitures destinées aux employés doivent être électrifiées en 2023, 20% en 2024 et jusqu'à 70% à partir de 2030 selon se texte.
 
Mais quatre ans après la loi c'est 60% des entreprises concernées qui ne respectent pas ces quotas, d'après une étude de l'ONG Transport et environnement (T&E). « Il n'y a aucune sanction et aucun contrôle actuellement », regrette Léo Larivière, porte-parole de T&E.
 
« Les 3 % des entreprises gérant des flottes de plus de 100 véhicules représentent chaque année environ 61 % du marché du neuf, soit 1,2 million de voitures », explique Léo Larivière, responsable plaidoyer automobile chez Transport et Environnement. Dit autrement, le périmètre de la loi LOM vise directement et indirectement (via les sociétés de leasing qui s'adressent aux particuliers comme aux entreprises) 6 véhicules sur 10.
 
Les constructeurs doutent-ils de l'électrique ?
 
TAIR Marc
Les Français et l'achat de voitures electrique - 092024

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Est ce la fin de la voiture electrique reine après 2035 ? - 092024

Publié le par tair marc

Fin des illusions pour le secteur de l’électrique :
 
Avec des inventaires d’invendus, les analystes attendent avant la fin de l’année des baisses de prix pour les voitures à batteries. Les journalistes y voient la solution pour la relance des ventes.
 
Sur Frandroid :
« Le problème est simple : la production nationale et les importations de voitures électriques sont nettement supérieures à la demande. De nombreuses voitures électriques n’ont pas trouvé leur chemin jusqu’aux clients, mais sont garées dans des parkings à proximité de l’usine, chez les concessionnaires ou dans les ports. Cela concerne aussi bien les véhicules des constructeurs allemands que les importations.
 
Le média Golem lui évoque le cas du constructeur américain Tesla, qui produit actuellement trop de Model Y dans son usine de Grünheide près de Berlin. »
 
En fait, même avec des baisses de prix, les voitures à batteries manquent sans doute d’attrait chez les consommateurs – en l’absence d’incitations ou de contraintes. Le graphique ci-dessous montre justement les ventes de voitures à batteries en Allemagne et avec la fin des subventions en décembre, les achats baissent de moitié.
 
Selon la Tribune : Votée le 14 février 2023, la fin des moteurs thermiques au sein de l'Union européenne en 2035 semble compromise. C'est du moins ce qu'a conclu la Cour des comptes européenne dans un rapport publié lundi. 23 avr. 2024
 
Les voitures thermiques neuves seront interdites à la vente dès 2035 en Europe. Mais le plus grand parti politique de l’Union européenne s’y oppose. De quoi, voir une lueur pour le thermique après 2035.
Est ce que les choses peuvent changer. ? : Le PPE « Nous rejetons une politique d'interdiction – telle que l'interdiction des moteurs à combustion – et la réviserons également dès que possible ».
 
Le PPE opposant constant à l'interdiction des moteurs à combustion d'ici 2035, dirigé par le législateur allemand Jens Gieseke, a critiqué ce qu'il appelle « l'idéologie de l'interdiction ».
Cet homme a représenté le parti dans les discussions sur les normes de CO2 pour les véhicules. Gieseke met depuis longtemps en garde contre la décision d'abandonner les véhicules à moteur à combustion.
 
Il prédit un « effet Havane » : c’est-à-dire que les Européens continueront à utiliser de vieilles voitures à combustion pendant des décennies encore. C’est un peu ce qu’il se passe dans la capitale cubaine. Ainsi, les moteurs thermiques mettront encore plus de temps à disparaître de la surface de la Terre. Ce qui n'est pas faux.
 
Fin de la vente des véhicules Thermique ? Les choses changent vite, et j'avais déjà évoqué que des avancés pour la Thermique sont en court, les choses évoluent mois après mois.
 
TAIR Marc
Est ce la fin de la voiture electrique reine après 2035 ? - 092024

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Monde agricole et qualité des sols - France - 092024

Publié le par tair marc

Monde agricole et qualité des sols :
 
La dégradation des sols en France est une question d'importance et pourtant peu relaté, la perte de fertilité des sols devient grave.
 
Les sols deviennent durs et denses, la contamination des sols agricoles arrive lorsqu’ils sont infectés par des substances toxiques ou des polluants agressifs.
 
C'est l’utilisation a grande quantité d’azote qui permet aux bactéries de proliférer.
 
Les bactéries vont attaquer la plante et réduire la quantité de champignons qui permettent la régénération de la matière organique, ce qui favorise la diminution des nutriments des terres agricoles.
 
C'est le sol qui en 50 ans c'est appauvrit et cela est grave.
 
TAIR Marc
Monde agricole et qualité des sols - France - 092024

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